mardi 19 décembre 2017

Adrien Filez - Statistiques détaillées en Equipe de France


Adrien FILEZ - Matchs, Buts et Passes décisives en Equipe de France.

Adrien FILEZ - Matches, Goals and Assists in National Team.

#Match.__Année__Compétition/Amical__D/E/N__Adversaire__Score_____B--P (Cf indirect, direct, pen., dist.)
#Match.__Year__Competition/Friendly__H/A/N__Opponent__Score_____G--A  (indirect fk, direct, pen., dist.)

  1.__1904__Friendly__A__Belgium___________3-3_____0--0
  2.__1905__Friendly__H__Switzerland_______1-0_____0--0
  3.__1905__Friendly__A__Belgium___________0-7_____0--0
  4.__1906__Friendly__H__Belgium___________0-5_____0--0
  5.__1908__Olympics__N__Denmark___________0-9_____0--0 *


  5 sélections/ 0 but/ 0 passe décisive.
  5 international games/ 0 goals/ 0 assists.


*: La France avait deux équipe engagées au tournoi olympique de Londres de 1908. Filez faisait partie de l'équipe dite "France B".
*: France had two teams involed in the 1908 Olympic tournament in London. Filez was part of the team said "France B".


Fiche/ card © Football Yesterday & Today (blogspot)

Gaston Cyprès - Statistiques détaillées en Equipe de France


Gaston CYPRES - Matchs, Buts et Passes décisives en Equipe de France.
Gaston CYPRES - Matches, Goals and Assists in National Team.


#Match.__Année__Compétition/Amical__D/E/N__Adversaire__Score_____B--P (Cf indirect, direct, pen., dist.)
#Match.__Year__Competition/Friendly__H/A/N__Opponent__Score_____G--A  (indirect fk, direct, pen., dist.)

  1.__1904__Friendly__A__Belgium___________3-3_____1--0  (volley shot)
  2.__1905__Friendly__H__Switzerland_______1-0_____1--0  (rush on the right and shot)
  3.__1905__Friendly__A__Belgium___________0-7_____0--0
  4.__1906__Friendly__H__Belgium___________0-5_____0--0
  5.__1906__Friendly__H__England Am._______0-15____0--0
  6.__1908__Olympics__N__Denmark___________1-17____0--0


  6 sélections/ 2 buts/ 0 passe décisive.
  6 international games/ 2 goals/ 0 assists.



Fiche/ card © Football Yesterday & Today (blogspot)

dimanche 17 décembre 2017

Equipes de rêve de tous les temps des clubs français

Football Yesterday & Today se propose ici de sélectionner les onze de rêve des clubs français. Au programme, pas moins de 44 équipes qui formeront toutes ensembles une sorte de super-championnat, du genre qui se joue dans les étoiles. 

Alors bien sûr, chaque époque a eu ses joueurs. Et souvent, plusieurs d'entres eux pourraient être tout aussi bien sélectionnés pour un même poste. Mais il s'agira de trancher, au maximum (quelques matchs nuls sont peut-être à prévoir). 
La section "commentaire" reste bien sûr ouverte à quiconque sera désireux de donner son avis ainsi que pour permettre ici-même (en bas de page) le débat.
Quelques notes pourront figurer à la suite de la présentation d'un onze mais celles-ci seront les plus succinctes possibles afin de favoriser un enchaînement assez rapide des équipes. 

Et maintenant, d'est en ouest et du nord au sud, les équipes de rêve de tous les temps des clubs français!


Olympique de Marseille

Olympique de Marseille
Dans un système avec de véritables ailiers, Roger Magnusson aurait obligatoirement sa place. Mais puisqu'il fallait au moins un véritable arrière latéral et qu'aucun des quatre défenseurs centraux sélectionnés ne pouvait être mis de côté vis-à-vis de ses trois collègues, un système à cinq derrière (système souvent utilisé à l'OM vers 1990) a été privilégié et au final, au suédois a été préféré Waddle ou Pelé qui participèrent activement aux grandes soirées européennes et qui tous deux ont sur leur carte de visite un match référence face au Milan en 91 et même deux pour Pelé, avec celui de 93.
Amoros : entrait dans la dernière phase de sa carrière. Linderoth : est le seul à présenter quelque concurrence, pour ce onze de tous les temps, au poste de milieu défensif. Concernant les numéros 10, Ben Barek partît trop tôt (vice-champion) et revînt bien tard (finale de coupe). Stojkovic ne fut en mesure de faire bénéficier le club de ses talents que lors des derniers mois d'un "grand OM" qui l'était déjà un peu moins - grand. Francescoli manqua le coche au niveau européen et fût rapidement transféré. Joseph "Zizou" Bonnel marqua le début des années 70 et "Lucho" le début de la décennie actuelle, avec son compatriote et défenseur Heinze. Devant, Drogba comme Boksic n'ont fait qu'une seule (et unique) saison. Allofs, qui se mît au service de Papin : deux. Principaux grands noms des années 30 à 40 : Zatelli, Devaquez, Kohut, Aznar, Vasconcellos. Durant les années 50, la grande vedette était bien sûr l'avant centre Gunnar Andersson. Et les Brésiliens Paulo César et Jairzinho les grands animateurs de la saison 1974-1975.


Paris Saint-Germain

Paris Saint-Germain
PSG époque pré-Q, bien sûr. Et puis, en complément - et il serait peut-être mieux qu'un joueur de complément pour cette équipe - on pense fort à Valdo. A Bats également mais Lama écuma les stades européens au contraire du futur entraîneur des gardiens de l'impact de Montréal. Bianchi n'a fait que deux saisons, mais quelles saisons! 64 buts. Rocheteau (champion) et Pauleta (coupes) marquèrent 100 buts. En un peu plus de matchs. Djorkaeff (1995-96) réalisa sa meilleure saison ici, mais pas Ronaldinho. Humberto, Dogliani, Alves, M'Pelé puis un peu après Bathenay, marquèrent les débuts du club dans l'élite. Pilorget est le plus "capé" du club. Le Guen, Guérin et Roche étaient les cadres de l'ère européenne des années 90. Leonardo fut très bon 6 mois et ne permît pas au PSG de conserver une Coupe des Coupes remportée grâce à Bruno N'Gotty.


AS Saint-Etienne

AS Saint-Etienne
Janvion, qui joua à peu près à tous les postes, se retrouve ici sur le côté gauche de la défense. Pas son poste préféré, loin de là, et intervertir avec l'arrière droit danois Sivebaek ne serait peut-être pas plus mal. Au centre de cette ligne arrière aurait pu figurer le capitaine emblématique Christian Lopez qui joua chaque minute de toutes les campagnes européennes des Stéphanois. On lui aura préféré Bosquier, peut-être un tout petit peu moins rugueux mais peut-être également un petit peu plus constructeur (tel un Laurent Blanc) et bon tireur de coup-francs. Au milieu, pas de Platini. Sa carrière à l'ASSE peut laisser une impression du genre mi-figue mi-raisin. Et ça s'est carrément fini en eau de boudin. On le retrouvera cependant dans une autre équipe tout comme Battiston du reste.
Avec un milieu de moins, Hervé Revelli serait assurément associé à Salif Keita en attaque comme ils le furent durant trois ou quatre saisons. Dans ce cas, l'un des deux ailiers devrait être un peu plus de type milieu de terrain et l'on pense immédiatement à Bereta.
Enfin, Rocheteau ne fut pas des plus réguliers à Saint-Etienne mais le beau et talentueux attaquant reste tellement emblématique du club et de la passion qu'il déchaîna partout en France!
Voilà pour le onze et pour réellement terminer, nous ne citerons pas tous les internationaux parmi lesquels de nombreux joueurs issus du club et de la région d'ailleurs mais seulement trois "grandes figures", chacun avec son caractère : Rijvers, Herbin, Jacquet.


FC Nantes

FC Nantes
Deux matchs nuls aux postes de milieux offensifs car comment reléguer l'un d'entre eux sur le banc? Un autre match nul au poste de gardien et un autre à celui d'arrière gauche. Au milieu, les Ramon Muller, Omar Sahnoun séduiraient peut-être d'avantage qu'un Deschamps et il pourrait en aller de même avec un Makélélé.
Enfin il ne faut surtout pas manquer de citer Gondet, le trio Pedros-Loko-Ouédec et plus récemment, quoique ça commence à dater un peu, Eric Carrière. Et puis dans le style meneur de poche toujours, Gilles Rampillon. Et en milieu offensif un peu côté gauche toujours, Vercauteren. Et Marcos! Allez, on s'arrêtera là, c'est bien.
Citons tout de même (même si on pensait déjà si fort à eux) : Jean-Claude Suaudeau et son compère Robert Budzynski, qui avant de devenir définitivement des figures du club en tant que techniciens furent tout d'abord respectivement un excellent milieu de terrain et un excellent défenseur.


AS Monaco

AS Monaco
Dans les buts Ettori : Barthez est déjà dans le onze de l'OM et avec 18 saisons et 602 matchs de D1, le tout exclusivement pour le compte de l'équipe du Rocher, ce n'est pas volé de la part du gardien de l'Equipe de France au Mundial 82, même s'il on pense encore à Roma ou à Subasic.
En attaque, quelques ex-aequo avec deux goleadors et deux autres  attaquants au registre plus étendu. Et puis surtout une kyrielle de milieux offensifs de qualité. Giuly, plutôt côté droit : Hoddle. Genghini, Gallardo, plutôt côté gauche : Djorkaeff. Et puis, Barberis, Rui Barros, Scifo voire pourquoi pas Pastoriza ou encore Raoul Conti... alors on aura tranché avec le joueur emblématique du doublé de 63, Yvon Douis, qui trouve ici  une position centrale derrière les attaquants.
En défense, on peut également penser à Battiston (même si sur la fin de carrière), à Zitouni, à Rafael Marquez, à Ibarra... en attaque, aux  Sonny Anderson, Ramon Diaz, Morientes, Cossou, Dalger, Bellone, Simone. Weah est déja au PSG mais il pourrait/ devrait, comme les milieux offensifs cités, figurer sur le schéma.
Enfin, doit-on citer tous les noms de l'équipe 2016-2017?


Stade de Reims

Stade de Reims
Champagne!
Sans oublier les argentins Santamaria, Laraignée, Zywicka et Onnis. Batteux... Appel, Sinibaldi, Bini, Templin, Glovacki, Leblond, Wendling, Méano, trop tôt disparu, Akesbi, Georges et Bernard Lech, Jodar, un peu plus récemment Tacalfred et tous les autres. Et l'on pense également à un certain Robert Pirès, formé au club.


Olympique Lyonnais

Olympique Lyonnais
Lloris dans les buts. Ses concurrents : Aubour et Coupet, rien de moins! En concurrence pour accompagner Cris en défense centrale, deux défenseurs aux conceptions bien différentes du métier : le pas tendre du tout Mihajlovic qui apporte une caution défensive certaine avec à sa gauche l'arrière offensif Jean Djorkaeff et Edmilson, qui fût bien sûr bien supérieur techniquement, ne fût pas aussi souvent que certains veulent le dire "catastrophique en défense", pouvait même être très bon en la matière, mais qui ne compte qu'une saison pleine sur les quatre qu'il passa à Lyon et qui, objectivement, fût sans doute, il est vrai, bien meilleur posté devant la défense. Caçapa qui lui même n'a pas plus d'une saison pleine à son actif mais quelques excellentes performances pourrait présenter un parfait compromis. Assurément. Enfin, l'on pourrait penser qu'un attaquant parti faire fortune au Real Madrid ne ferait pas forcément désordre dans ce onze. On pourrait... et puis, pour revenir à une autre époque (et à d'autres moeurs? Pas sûr, remember les blousons noirs), on songe au duo franco-argentin Rambert-Combin. Et comment oublier Lisandro? Comme Lacazette du reste.


Girondins de Bordeaux

Girondins de Bordeaux
Plutôt que D. Pantelic ou Dropsy, Ramé. Pour son extrême sûreté. Vraiment, difficile de faire mieux. Pour le reste, pas vraiment de commentaire. Chacun puisera des noms parmi les équipes championnes et verra, sans fausse modestie, qu'il sera difficile de sortir l'un des joueurs sélectionnés au bénéfice d'un autre. Citons en quelques-uns : les frères Vujovic, les allemands Dieter Müller et Klaus Allofs, Roche, Benarbia, Wiltord... Ferreri... Couécou (vice-champion), Kargu, Dugarry (finale C3)... Gourcuff, Wendel, Grenet, Chalmé, Trémoulinas... admettons ensemble que ça peut éventuellement se discuter pour le poste de gardien, le poste d'arrière central au côté de Battiston ou celui d'arrière droit, peut-être, mais pour le reste... un onze qui devrait bien passer.


AJ Auxerre

AJ Auxerre
Bats ou Martini et ses dix années au club agrémentées de belles saisons européennes. Puis, dans les cages toujours, on pense forcément à Lionel Charbonnier et à Fabien Cool. Au Polonais Szeja aussi peut-être pour les plus anciens supporters de l'AJA. D'ailleurs, outre Szarmach, des Polonais, il y en eu (voir ici). Comme le libéro Janas. Ce qui nous conduit très vite à évidemment mentionner Verlaat, buteur en coupe d'Europe et puis Blanc, si précieux dans la conquête du doublé en 96 mais qui ne resta pas une saison de plus en Bourgogne. Celui qui, plutôt à juste titre était annoncé comme son successeur en Equipe de France lui est préféré pour ce onze de l'histoire du club : il s'agit donc de Méxès qui est ici associé à Basile Boli plutôt qu'à Boumsong, son partenaire véritable au début des années 2000, qui a pesé un tout petit peu moins lourd que le natif d'Abidjan dans la balance au moment de faire le choix du "stoppeur" ou "numéro 4". Puis la sélection s'est opérée un peu d'elle même mais citons tout de même d'autres joueurs que certains préféreront peut-être : Violeau en milieu défensif, Fiard, Mathis, Dutuel, Cuperly... en attaque, les triplettes Cocard-Baticle-Vahirua et Kapo-Cissé-Fadiga... Laslandes, Garande, les champions du monde Diomède et Guivarc'h... Jelen, Kahlenberg, Taïnio... Kalou, Marlet...
Bon et puis surtout, "surtout" parce qu'il y avait match avec Lamouchi : Saïb et Lachuer qui devraient figurer dans une sorte de match nul à trois : Lamouchi  l'emporte pour ses qualités défensives qui seront utiles auprès des numéros 10 Scifo et Martins. Lamouchi, du reste, évolua aussi en relayeur et même sur l'aile droite, avec succès, en 96. Saïb, très bon technicien, fut meilleur passeur du championnat. Lachuer, fut le maître à jouer de l'équipe bourguigonne qui remporta la Coupe par deux fois au début des années 2000. 


RC Lens

RC Lens
Citons également les attaquants Stanis Dembicki dit "Stéphane", "Ignace", Chérif Oudjani puis Ahmed ou autre Egön Jonsson... Ludo et Théo qui jouèrent ensuite à Monaco, le demi Xercès Louis, l'Autrichien Kominek, le Guinéen Titi Camara ou l'Ivoirien Tiéhi... Roger Boli, Omam-Biyik... Foé... le Sénégalais El-Hadji Diouf, le Tchèque Vladimir Smicer, le défenseur Polonais Bak, Richard Krawczyk, Joachim Marx, le gardien international Tempet, le milieu offensif Farès Bousdira, François Brisson, Daniel Xuereb, les champions 98 bien sûr, des Ziani, Déhu, Vairelles, Foé, Smicer encore une fois, Drobnjak, Lachor, Debève... et puis pèle-mèle Seydou Keita, Moreira, Pédron, Meyrieu, Adjovi-Bocco, Adama Coulibaly... (liste non-exhaustive).
Sinon, nous notons que Wisniewski est ici positionné à gauche pour des raisons disons "pratiques" alors que ses postes de prédilection étaient soit ailier droit comme à ses débuts soit avant-centre (avec la particularité de jouer un peu en retrait dans ce rôle-ci, "avant-centre de soutien" plutôt que "de pointe").
Le grand dilemme se situait entre Leclerq et Déhu, tout deux défenseurs centraux ou milieux défensifs (libéro devant la défense) : lequel mettre au milieu et lequel mettre aux côtés de Wallemme? Mais avec Laigle, c'était plutôt Leclercq qui s'imposait un cran plus haut comme "demi droit" (on peut aussi imaginer cette équipe évoluant en WM avec les deux aux postes de demi et Laigle inter ou ailier gauche). Un match nul serait peut-être plus juste ici afin d'inclure un autre joueur quoique franchement qui peut lutter avec le druide? C'est donc au détriment d'un autre joueur qui pourrait être par exemple Keita ou Foé. Smicer n'avait pas plus de chances de l'emporter face aux joueurs emblématiques qui composent le quator d'attaque et qui marquèrent bien d'avantage de buts que lui. Six emblématique? Oui, du Lens-Lazio bien sûr!


Lille OSC

Lille OSC
Un petit match nul Balmont-Mavuba-Cabaye au milieu tant ce trio fût complémentaire et efficace (champion). Et puis, alors évidemment Hazard voire Gervinho devrait être du onze. Absolument. Mais FYT n'a pas su qui éliminer devant pour faire place aux champions de France 2011 alors pour l'attaque, on se la joue à l'ancienne. Mais même si on ne le voit pas ici, Hazard fait bien partie du onze du LOSC de tous les temps, sans conteste.
Le but n'est pas plus maintenant que juste auparavant pour le voisin du RCL de proposer une liste exhaustive des autres joueurs marquants de l'histoire du club mais citons, en provenance de l'autre côté de la frontière également, l'attaquant Vandenbergh. Et Abedi Pelé! Encore lui! Et puisque nous notons la présence bien réelle celle-ci (et indiscutable encore) du Chilien Prieto, notons en même temps le passage du milieu de terrain et brillant technicien Alberto Fouilloux au club (70 matches et 12 buts pour sa sélection). Citons aussi les danois EK Jensen, Friis-Hansen et Per Frandsen, les frères Cheyrou... et puis Tafforeau qui ne pouvait pas vraiment lutter avec le légendaire Somerlynck. Nous ne citerons pas tous les défenseurs de valeur de l'histoire encore récente du club mais pour conclure citerons une bien belle triplette de gardien avec Lama, Nadon et Enyeama (et même un quator avec le "Nantais" Landreau) et pour le plaisir, pour conclure de chez conclure, une pléiade de buteurs constituée de Bihel, G. Bourbotte, Guy, Coste, Pleimelding, Sow, Bastos.

Ils ont joué à Lille et à Lens : Lama, Bieganski, Sibierski, Brunel, Frau...


RC Strasbourg

RC Strasbourg
Citons : en premier lieu José Farias (le roi de la roulette en France à l'époque, à ne pas confondre avec la roulette de Zidane, il s'agissait en l'occurrence d'avantage d'une feinte au-dessus du ballon, avant de rembrayer), Alexandre Vanags (Letton et médaillé d'argent en CE de basket), Remetter, Ivan Hasek, Olivier Dacourt, Fritz & Curt Keller, Marc Keller, Zitelli, Edmond Haan, Lucien Muller, Ramon Muller, Bert Carlier (qui joua d'avantage pour Monaco), Kaelbel, Marc Molitor, Ljuboja, Pagis, Niang, Philippe Piat, Domenech, Jouve, Huck, Novi, Ehrlacher, Tanter, J-J Marx, J. Simon, Boka, Beye, Luyindula, Ismaël, Keshi, Suchoparek, A. Farnerud, Bassila, Duguépéroux, Stojaspal, Kominek, Koza... (liste non-exhaustive) mais disons que les joueurs les plus proches de faire le 11 étaient Farias (milieu offensif ou attaquant) et Marx (arrière gauche) voire Boka (arrière gauche également). Le poste de numéro 3 est tenu par Specht, défenseur central, et sur le flanc droit on constatera un nul entre Hauss, arrière droit dans les anciens systèmes et adaptable à d'autres postes défensifs et Djetou, défenseur polyvalent également voire milieu de terrain. Gress/ Gemmrich : Gress ailier droit ou milieu de terrain et Gemmrich ailier gauche et d'avantage attaquant de pointe. Pour des raisons tactiques, les deux pourraient être alignés au dépends d'Heisserer mais dans la logique d'un onze de tous les temps, ce dernier est un indéboulonnable. Il est d'ailleurs le joueur emblématique du club et de la région.

Michael Hughes... Pouliquen, Schneiderlin, Pascal Johansen, Spiegel, Njanka, Carsten Nielsen, Tita, Yannick Rott...bon suivant! On ne développera pas de telles listes à chaque fois avait-on dit. Sinon, ce serait peut-être plus juste, mais c'est sans fin.


FC Metz

FC Metz
Donc chacun pensera à d'autres joueurs ou encore fera des recherches afin de voir quelles modifications il approrterait au onze proposé par Football Yesterday & Today. Citons tout de même les joueurs qui furent considérés de très près pour "faire" le onze : tout d'abord, Bakhuys. Puis Cisowski (début de carrière) et Combin (fin), Baillot. Puis Hinschberger, Bracigliano, Bernad, Rohr, Kurbos... bon en gros l'équipe qui ridiculisa le Barça en 84... Braun, Vercruysse, Isaias... Remetter, Marichez, Létizi, Mondragon... Rigobert Song, Bassong, Fernand Jeitz, Jeff Strasser... Hnatow, Kasperczak, Sczepaniak, Hausser... Hess, Pauk, Mahut, Pierre, Gaillot et comment ne pas citer Joël Muller et Carmelo Micchiche. Meyrieu. Et puisque Pirès, Pouget, son compère des "PP flingueurs". Cartier, Serredzum, ça parle également. Il y a eu plusieurs N'Diaye aussi. Fucklinger... Caldéraro! Erick Black! Arpinon... Ribéry...Pjanic... bon.


AS Nancy-Lorraine

AS Nancy-Lorraine
Attention! Piantoni ne joua pas pour l'AS Nancy mais pour le FC Nancy et il s'agit de deux clubs, de deux entités différentes. Mais comment résister à l'envie de l'inclure dans ce onze?
Aussi, l'on remarquera que les deux latéraux sont des défenseurs centraux de métier. Mais ça fonctionne.
Cela dit, l'inclusion de Piantoni se fait au détriment de l'excellent Zénier, véritable numéro 11 pour sa part (et appelé en Equipe de France quand il jouait au club). Il s'agira, en toute honnêteté, de refaire l'équipe afin de l'inclure mais un peu plus tard quand Nancy revêtira un maillot plus digne de son histoire que l'actuel (ce dessin avec ce maillot-ci date d'il y a quelques saisons).
Enfin, on peut préférer aligner Puygrenier en défense centrale plutôt que Curbelo - voire d'André Luiz, partnenaire de Puygrenier. Et l'on citera les attaquants argentins du début des années 70 Raoul Castronovo et Eduardo Flores, le gardien des années 80 Bruno Martini, devenu international à Auxerre, celui des années 2000 Gennaro Bracigliano, Bruno Germain, Franck Gava, Demetrius Ferreira (véritable arrière d'aile, à droite), Mickaël Chrétien Basser qui joua régulièrement arrière droit également et à d'autres postes défensifs. Les Tarasiewicz, Delamontagne mais aussi Zavarov, Zitelli, Vairelles, Mustapha et Youssouf Hadji, Ouaddou, Eli Kroupi, Zerka, Rabésandratana.


Stade Rennais

Stade Rennais
Ils échouent sur le banc de touche (peut-être injustement d'ailleurs) : Kaiser, premier meilleur buteur du championnat de France de D1 en 33 (ex-aequo avec Mercier du Racing). Daniel Rodighiero et ses trois fois 20 buts de suite. Marcel Loncle (Källstrom). Grumellon (doublure de, disons, Monterrubio, le choix de la modernité encore une fois dans ce cas. Notons au passage que Grumellon est bien plus buteur et Monterrubio avant tout passeur). Les héros de la coupe 65 Cardiet et Cédolin auxquels furent préféré des internationaux de ces dernières années. Cela laisse de côté également un Patrick Carteron par exemple ou encore un Mikaël Silvestre (qui ne resta cependant pas longtemps au club ni dans le championnat comme Dabo d'ailleurs). Khenanne Mahi, étoile d'Or FF 1961, qui doit ici se contenter d'un rôle de doublure de Sylvain Wiltord (quand Nonda et Freï se partageront équitablement le temps de jeu).
La doublure de l'incroyable Laurent Pokou sera Julien Féret - sans oublier le puncher yougoslave Takac, buteur et passeur. Autres atouts créatifs que nous citerons : Pagis, Gourvennec ou encore Betta. Et puis derrière Prouff qui sera notre titulaire, inévitablement, Kéruzoré. Mais aussi Ascencio, Makoun, M'Bia, M'Vila... et plus défensifs encore Lemoine, Pajot... de même, Danzé sera un joueur extrêmement utile à l'effectif. Aubour, Hiard, Douchez et Costil se tireront la bourre pour être numéro 2 derrière Cech. Arribagé et Bocanegra sont deux autres défenseurs qu'il faut absolument nommer et il y eu encore de nombreux autres footballeurs de qualité évidemment. Comme Julien Escudé. Et Floch bien sûr!


FC Sochaux

FC Sochaux
Aïe aïe aïe! Un club qui connut bien des générations de qualité. Encore une riche école de football avec quantités de jeunes pousses devenus très tôt internationaux et de nombreux imports qui satisfirent durant des décennies qu'ils proviennent des Balkans, d'Amérique du Sud (les "oriundi") ou plus proche, de Suisse. En somme une sélection particulièrement "casse-tête" à opérer ici.
Si Rust sorti vainqueur de l'alternance dans les buts avec Bats, finalement transféré à Auxerre, il devra composer ici avec le légendaire Di Lorto. Belle doublette derrière laquelle on placera Richert en troisième gardien (ou Rousset). Et puis comment ne pas évoquer Battmann. Et la première star du club, Antonio Lozes...
La dureté dans les interventions que l'emblématique Mattler démontrait, Silvestre l'avait aussi d'où un match nul au risque d'égratigner l'icône. Mais on l'a dit, il est solide. De même l'on procède à un nul Quittet/ Seles (deux autres monuments du club également bien rugueux dans les duels) puisque aucun de ces quatre défenseurs ne peut-être considéré comme le remplaçant d'un autre pour notre onze de tous les temps.
Sont donc laissés de côté en ligne arrière le demi-centre surdoué Bosquier qui prendra de l'épaisseur sous d'autres cieux pour devenir une valeur sûre au niveau international mais aussi le libéro Djaadaoui ou encore Cazenave, pour les plus anciens.
Melic et Ivezic qui, tous deux aussi, firent honneur à l'école Yougoslave, se partage un poste de milieu de terrain aux côté du local Franck Sauzée.
Eux aussi sont là, tout proches, mais ne figurent pas non plus dans l'équipe : JJ Marcel devenu international à Sochaux, transféré contre une somme record à l'OM et dont le nom sera peut-être d'avantage associé à un autre club encore (à voir par la suite), les demis Tellechéa, Szabo, Krstic, autre demi puis entraîneur, le feinteur hors pair Pedro Duhart, la "flèche d'or" Michel Lauri, Alberto Muro, René Gardien (attaquant)... Leslie Miller, premier buteur du club dans l'élite. Lucien Laurent, le premier buteur en Coupe du Monde, c'est Sochaux aussi. Posca, c'est la fidélité à son club et à sa région. Ruty, ça ne rigolait pas en défense non plus avec lui. Et puis pour revenir à des joueurs des lignes avant, pensons à cette équipe de 81 de Genghini (inclus dans le onze bien sûr) et évoquons les noms suivant :  Stopyra, Durkalic, Anziani... Patrick Revelli l'ancien vert, aussi.
Et puis il ya la génération suivante des Sauzée et Silvestre (inclus donc), surtout connue comme la "génération Paille". Peut-être, sûrement même, le plus doué de tous les attaquants sochaliens. Mais le poids de la riche histoire du club a pesé au moment du choix au postes offensifs. Cela a pesé encore plus lourd contre les talents des années 2000 qu'ils s'appellent Ménez, Meriem, Ziani, Daf, Pedretti, Mathieu, Frau, Erding, Oruma, Santos, Ilan, Marvin Martin ou Isabey. Mansoreau, c'était fort et fin à la fois aussi, derrière. Qui a-t-on oublié? Oui, pas moins que Gérard Soler, le tchécoslovaque des années 40 "Pepi Humpal"... Pintenat, Georges Lech, Flachez... Stéphane Pichot. Quant à Decker, ce milieu offensif représentant de l'école viennoise, il mérite bien sa place, veuillez-bien le croire (joueur en fin de carrière mais sacré joueur de l'époque).
Mais que ce fût chaud! Parce qu'on n'a pas cité Henk Vos, Guirane N'Daw, Afolabi, Thomas, Lucas, Pitau ni Zaïri non plus! Ni Boudebouz. Ça fait du monde tout ça, pour onze places.


OGC Nice

OGC Nice
Bon alors là on double presque tous les postes et on revient peut-être à des commentaires un peu plus succincts. Comme c'était prévu. Mais c'est pas gagné.
Alors plus Bjekovic que Fontaine pour qui l'histoire niçoise ne s'est pas terminée dans les meilleurs termes avec le club après 3 saisons (ses premières en métropole avant donc, un départ pour Reims. Il n'était pas titulaire lors de cette troisième saison en 55-56, année du troisième titre du club). Et puis non, pas de Ben Arfa. Mais cela aurait été grave de ne pas le citer. Une seule et unique saison à l'OGCN mais quelle saison! Sa seule saison pleine en carrière mais alors pleine à ras-bord! Là, maintenant c'est plus les saisons vides, malheureusement. Dans la catégorie joueurs emblématiques, citons Jean Luciano puis Léon Rossi. Comme jouer du milieu de terrain également Kauczur Ferry (plutôt milieu défensif et relayeur) et Antoine Cuissard (plutôt demi-centre avec une bonne vision du jeu). Le milieu de terrain bourré de talent mais qui ne gagna aucun titre Guillou, Jouve, Huck (coéquipiers de Bjekovic d'ailleurs). Comme autre avant-centre, le Suédois Bengtsson (deux fois champion). Les gardiens Lamia, Létizi (clone de Lamia) et un certain Lloris (qui aurait pu être choisi, mais il est déjà le gardien du onze historique de l'OL). le maître à jouer argentin Ruben Bravo. Et puis pour ne pas ce quitter comme ça et pour le fun :  Carré, Foix, Amalfi, Amavi, M. Domingo, Milazzo, Quittet, Marc Molitor, Musemic, Oumar Barrou, Mahjoub, Ben Tifour, Hector Maison (qui passe ensuite à l'OL), Daniel Sanchez, Zambelli, Mège, Gioria, Valencony, Ospina, Dante, Bocandé, Langers, Mangione, De Neef, Chaouch, Sandjak, Onorati, M. Vahirua, Baky Koné, Joe Nagbe, James Debbah, Olivier Echouafni, Sammy Traoré, Jacques Abardonado, Cobos, Renato Civelli, Julien Sablé, Loïc Rémy, Balmont, Hellebuyck, Bauthéac, Cvitanich, Balotelli, Cyril Rool...
Enfin n'oublions pas d'évoquer que des joueurs espagnols et pas des moindres, le gardien légendaire Ricardo Zamora et le milieu de terrain Samitier trouvèrent refuge sur la côte d'Azur durant la Guerre Civile. Ils finirent ainsi leur carrière à l'OGCN (1937-1938). Leur compatriote, l'attaquant Joaquin Valle qui arriva juste après, pour sa part, jouera de nombreux matchs et marquera de nombreux buts pour l'OGCN au long de toute une décennie, décennie elle marquée par la Seconde Guerre Mondiale.
Quant à aujourd'hui, Jean Michaël Seri a déjà marqué l'histoire de l'OGCN. Il a entamé sa troisième saison au club après un transfert avorté (Barça).


S.E.C Bastia

S.E.C Bastia
Juste derrière Anto Drobnjak, François Félix. Et Roger Milla, buteur en finale de Coupe. Comme latéraux "bis", on pense à Cazes et Burkhardt de l'équipe de 78. Jurietti est une autre possibilité sur le côté gauche (et il peut jouer à d'autres postes défensifs), à la place donc d'un Tarantini qui ne resta qu'une saison et qui par ailleurs jouait dans l'axe (mais cela, on s'en accommode comme pour d'autres équipes précédentes). Au poste de milieu défensif, il convient de citer Franceschetti. Au rayon milieux offensifs, Larios (une saison) et Moravcik de passage à Bastia après Saint-Etienne et avant le Celtic. En attaque, les ailiers Kanyan Case et Zimako tout comme la paire André-Née représentent de belles alternatives. Olmeta et Valencony seront les deuxième et troisième gardien.


Montpellier

Montpellier
Ils furent également considérés de près : Yanga-Mbiwa, Der Zakarian et Julio César en défense centrale (Hilton est donc le titulaire tandis que Stojkovic trouve sa place côté gauche), Carotti, Lucchesi, Bédimo (arrière droit). Suvrijn et Lemoult, plus connus aujourd'hui que Kaucsar de l'époque du SO Montpellier, un Roumain naturalisé français et international titulaire pour l'équipe de France. En milieu un peu plus offensif, Guérin. En balance au moment de choisir un deuxième milieu offensif, Ferhaoui et Asanovic qui ne fît qu'une saison (comme à Metz du reste) et puis finalement on a mis les deux. En attaque matchs nuls encore aux postes d'avant centre et d'ailier ou second attaquant et l'on aura pensé également au duo Cantona-Xuereb vainqueurs de la Coupe en 90 comme Blanc, Baills et Ferhaoui.
Citons enfin Mistral, Rohlion, Dedieu, les frères suisses Georges, Edmond et Auguste Kramer, le défenseur Milorad Mitrovic et l'ailier gauche (mais aussi inter ou demi) Branislav Sekulic du SOM première époque. Touré Sékou fut meilleur buteur de D1 en 1961-62. Mahjoub passa au club également au début années 60 pour une remontée et une redescente et Bonnel effectua ses début au SOM à la fin de la décennie précédente, en D2 donc. Toujours en D2, Curioni était l'attaquant vedette du club de La Paillade pour la saison 1978-1979 quand le club était fraîchement redevenu professionnel. Et puis citons Philippe Delaye, Thierry Laurey... Belhanda, Cabella... mais le problème avec eux c'est que c'est trop frais.


Toulouse FC

Toulouse FC
Une précision : ce que l'on s'est permis (temporairement) avec l'équipe nancéienne ne se reproduira pas ici. En effet on fait bien la distinction entre le Toulouse FC 1937-1967 et le Toulouse FC actuel surnommé "Téfécé" qui lui descend de l'US Toulouse fondée en 1970. Et ultime précision, c'est bien ce dernier qui nous concerne ici pour le moment.
Quant aux joueurs qui sont là, juste aux portes de "l'équipe-type" : il s'agit en premier lieu de J-F Domergue (libéro champion d'Europe comme arrière gauche), des gardiens Barthez et Revault puis d'un Despeyroux au milieu, d'Arribagé (toujours en défense centrale) ou encore d'Abdennour bien évidemment. Au milieu, de nouveau, Achille Emana (et l'on se dit que l'on aurait pu citer Grégoire M'Bida pour Bastia). Oui, Emana en milieu relayeur/ offensif, c'est vraiment pas mal. Ferratge, Ferrer, Guy Lacombe, champion olympique en 84. Et puis on a aussi du Laurent Battles! Sur le côté gauche, on a chronologiquement du Jean-Jacques Marx, du M'Bengue (successeur d'Illunga), du Mathieu, du Tabanou! De retour au centre du terrain, on n'omet pas de citer Etienne Didot, précieux à Toulouse comme à Rennes auparavant jusqu'à ce que Guy Lacombe justement, quand on parle du loup, ne prenne les... commandes de l'équipe. Au poste d'avant centre, on peut préférer Elmander, mais il a fait un passage express, on peut préférer Gignac, qui a mis un titre de meilleur buteur dans sa besace en marquant les trois-quarts de ses buts lors d'une de ses trois saisons mais bon, Stopyra c'est le Mexique, c'est Naples. Ah oui, Gignac, c'est le Mexique aussi. Ah (mais c'est tellement frais également qu'on a failli oublié), Ben Yedder! D'autres attaquants? Réfléchissons... et bien pour finir on va citer Braaten tiens.
Voila. Et puis on aura piqué une idée à Deschamps en mettant Sissoko à droite.


CS Sedan-Ardennes

CS Sedan Ardennes
Anciennement UA Sedan, Sedan-Torcy. Mohamed Salem joua avant centre puis défenseur central de retour au club. Liste complémentaire : Roszak, Regnault, Sachy se tendront près pour prendre le relais de Bernard dans les buts. Défenseurs : L. Lemasson, Belhadj (arrière gauche offensif), Polak, Baysse et Ciani (D2), Juan-Luis Montero, Rastoll, Fugaldi, Zacharie Noah, Lautua, Zamojski, Eloy, Jezierski, Morisot. Demis : Michelin, Broissart, Hatchi, Médot, Caron, Ducourtioux, Di Tommaso. Un cran plus haut : Christian Oliver, Cardoni, Asuar, Wicke. Milieux offensifs : Salaber, Quint, Amalfitano, Salzborn, Watteau, Noro, Mokaké, Karaboué. Attaquants : Brény (ailier droit et meilleur buteur du club en D1), Mouchel (bon technicien arrivé au professionnalisme sur le tard mais qui pourrait disputer sa place à Roy bien que plus inter qu'ailier), Dahleb (17 buts, 20ème de D1 et transféré au PSG en 74), Pius N'Diéfi, Moussa N'Diaye, Philippe Levasseur, André Perrin, Mionnet, Di Rocco, Toni Brogno, Gagnier (D2), Moussa Sow (une saison en D2), Lefèbvre, Rustichelli.


Angers SCO

Angers SCO
Autres joueurs qui ont fait l'histoire du SCO : Gallina, Ramé, Padovani, Malicki, Butelle. Meuris, Chlosta, Kowalski, le polyvalent Lemée, Brulez, Steck, Couturier, I. Traoré, R. Thomas. Mouilleron, Bourrigault, Ziemczak, Cassan, Augustin, Viaud, Gnako, Daury, Brunel, Saïss, Saez, Auriac, Mangani. Poli, Derreudre (1 saison), Dubaële, Lamartine, Cél. Oliver, Deloffre, M. Boskovic, B. Lech, Ben Khalfallah, Lecornu (numéro 7), Karim Maroc, Karel Michlowski (aile gauche et spécialiste des touches longues), Stellan Nilsson, Bousdira, Obbadi (L2), Diers, Diedhiou. Campiglia, Aston et Simonyi. Savidan, Tison, Wognin (proche de "faire" le onze), Stiévenard, Margottin, Le Gall, Yvan Roy, Rouaï, Gaidoz, Barthélémy, Félix, Lagrange, Théréau, Modeste (L2), Alo'o Efoulou, Keserü, Mohamed Yattara, G. Charbonnier, El Jadeyaoui, Cheick N'Doye, Pierrick Capelle, Kodjia, Ketkeophomphone.

Hnatow, mondialiste 58 avec Bruey et très côté à l'époque a été préféré à Mangani, l'un des meilleurs milieux actuels ou à Poli, qui épaula Guillou. Kopa est le plus grand joueur a avoir évolué au club où il débuta sa carrière, en D2 (1949-1951). Vladimir Kovacevic est le super talent (finaliste de C1 en 66 avec le Partizan) à une grosse saison au club, vers les 30 ans, en 1971-72 (qualification européenne).


Le Havre AC

Le Havre AC
Avec Cavéglia en faux ailier et Vizek  sur la droite comme en Tchéquie alors qu'il évolua en 10 au Havre. D'ailleurs, si ce dernier fut brillant lors de sa première saison, il n'en a pas été de même lors de sa seconde, loin de là, bien au contraire.
L'avant centre Di Loreto doit être le premier mentionné de la liste complémentaire. Puis, des cages vers la ligne d'attaque (avec tout ça, si on n'peut pas faire un banc) : Frémont (1 sél.), Ruminski (tireur de pénalties), Villenave, A. Casanova, Vencel Placide. Grimonpon, Lenoble, Hoyvet, A. Bihel, Povolny, J-L Lagadec, M. Soukhane, Hassouna, Thouvenel, Mahut, Jan Fiala, Chimbonda (formé au HAC), Boumsong (idem), Cyprien (pareil), Hénin (itou), Delaunay, Uvenard, Pascual, S. Diawara (HAC), Ciechelski, Nestor, Abasse Ba, Ibrahima Ba (père de Ibou), J-A. Kana-Biyik (fils d'André). Anin (HAC), Mansouri, JP Fontaine, C. Wilkes, Accard, Goudet, Brando, Hidalgo (formé au club), Michel Rio, Rix, Povolny, Mansouri, Aït Ben Idir (HAC), De Neef, Ducrocq, Digard, A. Diarra, Glemot. Buré, P. Ranzoni, Salzborn, Monteilh, Daury, D. Carré, Lécossais, Huysman, Nalis, Lesage, M. Pantic, T. Moreau, Wieszczycki, Valorisek (Fra.), Kaj Christiansen, Rénier, Frigerio, Palluch, "Waggi", Stricanne, A. Soukhane, F. N'Doumbé, Bouchache, Bensaoula, Pain, Martet, Martot, Bugnet, Krimau, Tiéhi, Becanovic, Kandia Traoré, Hoarau, Alassane, Ryan Mendes. Notons la mode au joueurs Autrichiens avant-guerre (et un tout petit peu après), spécialement au Havre avec principalement Karl Adamek (déf.) et Josef Schneider (milieu puis entraîneur). Il y a eu aussi de tout temps des tchécoslovaques, scandinaves mais de manière peu notable. De nombreux britanniques également comme l'Irlandais Stapleton (D2) et son compatriote Byrne.
Et au rayon "formé au club" mais n'ayant jamais joué pour l'équipe première (ou peu) avec tout d'abord les produits de cette très belle école de gardiens (outre Frémont et Revault) qui ont pour noms Douchez, Kameni et Mandanda (qui n'ont jamais joué avec l'équipe première) et puis les Le Tallec, Sinama-Pongolle, Louis-Jean, Lassana Diarra, Djibrill Diawara, Mazure, Mandanne, Payet, Mahrez, N'Zogbia, Benj. Mendy, Pogba...
Voilà pour le club doyen.


AS Cannes

AS Cannes
Ce Zidane est le Zidane de Cannes naturellement. Et attention, comme pour le Havre et comme pour tous les autres jusqu'à présent, les titulaires ont forcément joué en D1.
Suit désormais la traditionelle liste complémentaire avec ligne par ligne : Cottenet, Francis Roux, Dussuyer, S. Frey. Baeza, Krol (D2, fin de carrière), Dreossi, Casoni (D2), Ayache, Sassus, Hampartzoumian, Delmotte, B. Lambourde, Jemmali, Zébina, Escudé (D2), Mater (National, 1 match de D2), Clichy (National). Louis Cler, Bernardet (D2),  Mlinaric, Guy Lacombe, Asanovic, JF Daniel, Guérit, Banin, Bedrossian, Marsiglia, Belmadi (1 saison), Hemdani, Luccin (17 apparitions), Faubert (National)... Vanenburg, Thordarson (D2). Loubet (D2), Fecchino, Muro (D2, fin de carrière). Aitken, Bardot, Crut (1 saison), Dutheil, André Nagy, Franceschetti (centre avant avant-guerre puis défenseur centra)l, Simba, Madar, Priou, Kozniku, Charvet, Compan, Bellion (juniors)...Namouchi a été formé au club également... Jan Koller joua pour Cannes en National. On peut aussi citer Ferhaoui, Capoue et Etame.
Des glorieuses années du club (dans les années 30) nous n'auront noté que quatre noms : Aitken, Bardot, Roux Francis et Cler.
Le onze ne devrait souffrir que de peu de contestations cependant. Sinon au niveau du choix du gardien, et encore.


Valenciennes

Valenciennes
US Valenciennes-Auzin, VAFC.
Masnaghetti était en réalité un attaquant qui préférait jouer depuis une position légèrement en retrait ou avec un autre avant-centre qui lui, allait plus au mastic. D'autres numéros 9 qui viennent immédiatement à l'esprit sont Lubanski et Papin (qui tous deux évoluèrent en Division II) et Savidan (Ligue 1). Autres gardiens : Schaeffer, Megiera, Delachet, Dropsy. Autres défenseurs : Pazur (1 saison puis Lille), Provelli, Fugaldi et Kourichi (notre seconde charnière centrale), Neubert, P. Zaremba, Wrazy, Tihy, Chelle (pas mal non plus au centre), Tiéné, Isimat-Mirin, Sommeil. Au poste de milieu (plutôt défensif et à ce propos Kocik et Metsu n'étaient pas des milieux "purement défensifs") : Duguépéroux, qui deviendra une figure du RCS, Maszczyk, Glassman, Ducourtioux, Saez, Rémi Gomis, Cohade (en balance avec Kaucik et Metsu, il termine juste derrière), Pauuwe (1 seule saison, qui fût très bonne, puis M'gladbach). Milieux plus ou moins offensifs : Chiarelli, Vésir, Bernardet (1 saison), Duncker, Danic, Roudet, Szoltysik, Osim, Wilczek. Milieux offensifs de côté :  Ben Khalfallah (1 saison), Kadir. Autres attaquants : Nico Kovacs (a joué à Valenciennes en 36, avant-dernier de D1), Libérati, "Ignace", "Waggi", Vrand, Van Rhijn, Stako, Guy Guillon, Guinot, Liron (1 saison), Sauvage, Bras, Yegba-Maya, Robert Jacques (champion avec le PSG en 86), Toko (1 saison puis PSG), B. Zaremba, Jeskowiak, Pujol, Audel, Le Tallec.


Nîmes Olympique

Nîmes Olympique
Entamons la liste complémentaire en évoquant tout d'abord l'iconique Kader Firoud, qui dût écourter sa carrière de demi défensif (international 6 fois) pour cause de blessure avant de devenir L'entraîneur du Nîmes Olympique. Puis, on doit penser à Christian Pérez, qui débuta en D1 avec Nîmes Olympique, connu surtout la D2 avec le club, devînt international avec PSG, ne le fût plus à Monaco et après un crochet par Lille, revînt à Nîmes en 95-96 et la finale de Coupe avec les Sence, Ecker, Jeunechamp, Belbey, Ramdane et Barlaguet comme entraîneur.
Reprenons tout cela ligne par ligne. Gardiens: on peut préférer, Roszak ou Dakowski mais Bernard (2 saisons) fût au top à Nîmes. On a aussi cité Sence et l'on peut ajouter Martinelli. Défenseurs : ah, les défenseurs "Crocodiles", avec Bettache, André Campo, Lafont, Golinski, Adams, Charles-Alfred, Kabile, Pirmajer, Novi, Boissier, Lucchesi... Poortvliet (D2), Cuciuffo, Tittel et Blanc (joueurs de très haut niveau mais qui connurent la relégation, enfin pas Tittel qui était juste parti)... et puis on l'a déjà cité, Ecker, mais aussi Vosalho.
Les demis défensifs (ou défenseurs) Gabrillargues (en temps de guerre), K. Firoud, Barlaguet, René Girard et enfin Cyrille Jeunechamp.
Les demis offensifs Kominek, Andrada (Paraguay comme Parodi, mais qui ne convînt pas, on le cite pour l'éxotisme) et surtout Pirès Constantino mais aussi Salaber, Djebaïli, Menad et plus tard Belbey.
Les attaquants M. Rouvière, Haan (aile gauche, 1 saison, champion de D2), Timmermans (proche du onze), Liron, Chillan, Kanyan-Case, Dellamore, Margueritte, Pircalab, Voinea, Domarski, Luizinho, Vokrri (D2), Cubaynes, Ramdane de l'épopée en Coupe de France 95-96.
Enfin on notera que Fred Piquionne et Faouzi Mansouri (déf., Algérie 82) débutèrent au N.O.

Il n'aura pas été évident de trancher tant peut-être, sur plusieurs décennies, l'esprit du club l'emporte sur les individualités. Cela doit être la raison à moins que tout simplement, on retrouve des joueurs de valeur tout à fait égale sur plusieurs générations. Cela s'applique du reste à toutes les lignes, même en attaque où il y eu des joueurs intrinsèquement brillants du reste.
En défense, 4 centraux, disposés au mieux. En attaque un match nul sur l'aile droite ou "fausse-aile" (Rahis est le seul véritable ailier et encore, un ailier buteur) et un triple match nul au centre où Parodi se distingue techniquement comme un avant-centre plus constructeur (et excellent joueur de tête). Notre "milieu gauche" Nygaard, évolua principalement en D2, servant de modèle au jeune Pérez. Il y'avait match ici avec Timmermans, d'avantage "avant" que "milieu" bien que travailleur. Mais le milieu offensif danois avait une telle patte gauche!


Red Star FC

Red Star FC
Autres gardiens : Thépot et Darui seront ici juste derrière Chayriguès (respectant l'ordre chronologique) et P. Bernard qui aida au maintien du Red Star en D1 au début des années 70 complète la galerie.
Autres arrières :  Lund, Oratio (ou Orestes) Diaz, Helenio Herrera, Garrigues, C. Domoraud et Meïté (D2).
Demis d'aile et centre : Batmale, Joyaut, Chantrel, Roessler, Meuris (ou arrière), Braun, Finamore, Karoly Sas, Penverne (une saison).
Avants : De Rhéart, Devic, Mistral, Brouzes, Naudin, Sentébury, Maës ("tête d'or" est notre avant-centre bis), Guillermo Stabile, Scopelli, Pinel, Amalfi (D2), Bror Mellberg et Roger Quenolle (D2, Quenolle ex-racing, comme Amalfi), Rodighiero (D2), Bras (D2), Combin et Di Nallo (en fin de carrière), Pintenat, Roussey (D2 en fin de carrière également), Timothée et Marlet (D2), Samuel Michel (D2)...
Liste non-exhaustive encore une fois, tant il y eu de vedettes avant-guerre. Et après. On notera d'ailleurs le passage des internationaux soviétiques Bubnov (déf.) et Cherenkov plus connu (milieu offensif). De Magnusson et Susic auparavant aussi.
Notes : Domergue comme Hugues était plutôt demi-centre mais il évolua aux postes de demi d'aile et à l'arrière également. L'arrière international Mairesse fût à l'origine du syndicat des joueurs en 1936.
Sinon, pas évident d'opter pour un ailier gauche plus qu'un autre alors on aura choisi Julien Verbrugghe, le plus jeune sélectionné en Equipe de France (à 16 ans, 10 mois et 6 jours en 1906 à Saint-Ouen) plus Steve Marlet, assez polyvalent en attaque et dernier tricolore issu du club.


Stade Malherbe de Caen

SM Caen
Avec les jeunes pousses malherbistes Gallas, Kanté mais pas Lemar. Et oui, avec Jesper Olsen arrière gauche. En fin de carrière, il joua à ce poste où il restait un relanceur et un attaquant de classe (surtout dans ce système, aucun soucis).
Autres gardiens : Montanier, Elana, Planté (et son remplaçant Costil), Vercoutre. Autres défenseurs : J-F Domergue, Dangbeto, Point, Lièvre, Sommeil, J. Germain, Jerry De Jong, M. Glonek, Tafforeau, Hengbart, Sorbon, Seube, Ronald Zubar, Barzola, Appiah, Calvé. Milieux :  M. Rio, Rix, A. Deroin, Rival, Raph. Guerreiro (bon surtout AJA), Rothen (L2), Proment, Ré. Gomis, Gorter, Mostovoï (une demi-saison avant de signer pour Strasbourg), Dedebant, Huysman, Bodmer, Nivet, Lemaître, Hamouma, Mollo, Eluchans, Ben Khalfallah, Féret. Avants : de nouveau, on se doit de citer Eugène Maës au poste d'avant-centre. Puis R. Kohut, B. Antic (D2), Prieur et Pécout (D2), Brian Stein, Divert, Faouzi Rouissi, Kennet Andersson et Amara Simba (descente), Nouma, E. Mendy, Née, Mazure, Savidan, El Arabi, Watier, Duhamel, Gouffran (et une saison phénoménale), Delort, Rodelin, Ivan Santini, Kouakou, Toudic. Sans oublier non plus M'Baye Niang, plus jeune titulaire et buteur du club à 16 ans et quatre mois (2ème plus jeune buteur de D1 derrière Laurent Roussey). Ni Bill Tchato.
En éspérant un maillot plus traditionnel pour la saison prochaine (et pour refaire la présentation).


Stade Brestois

Stade Brestois
Comme Elana, Lama obtînt l'Etoile d'Or FF (D1) mais il ne resta qu'une saison à Brest. Si le futur Parisien était peut-être (même sûrement) un cran au dessus, il n'est pas sélectionné pour cette raison. S'il y a des variantes selon les équipes pour les joueurs de champ, ce critère aura été systématiquement appliqué concernant le poste (ô combien spécifique) de gardien.
La liste complémentaire maintenant avec comme autres joueurs défensifs, outre Julio César et Yvon Le Roux, le champion du monde JL Brown, Van Herpen, J. Rico, Steck, Le Margueresse, Honorine, Jorge Higuaïn, Muslin (ex-Lille). Au milieu : Kéruzoré (inévitablement), Goudet, Bernardet (toujours lui), Van Straelen, Makélélé (1er club pro mais ne joua pas en première), Ewolo, Grougi. Milieux dits  "offensifs" : Vladimir Petrovic (vedette internationale du club le temps d'une saison), Corentin Martins, B. Ferrer, Licka, F. Ribéry (en National). Devant : Floch, Parizon, Milan Radovic, Ginola (1 saison, 1ère sélection A), Dragisa Binic, Salaün, R. Poyet,  Lesoimier, N. Roux. Et comment pourrait-on omettre de citer Alain de Martigny (entraîneur-joueur)?


En Avant de Guingamp

En Avant de Guingamp
Quatre autres gardiens derrière Angelo Hughes : Le Crom, Trévisan, C. Carrasso (une saison) et Loussouarn. Quelques autres défenseurs (pour cette liste complémentaire mais encore une fois, qui ne se veut pas être exhaustive) : Laspalles (belle doublure pour Candela voire latéral droit à la place de l'arrière central Sikimic), M. Jozwiak (...), Fabbri (une saison avec Malouda-Drogba avant de terminer en Argentine), L. Guyot, B. Koné, F. Saad. Au milieu de terrain citons Guy Stéphan, Kéruzoré, P. Lucas, F. Colleau, Cloarec, C. Le Roux, Oruma, Mathis, R.Soumah, S. Nikolic (plutôt un 10 et un bon), Bassila, Imbula et en attaque Luizinho da Silva, Szarmach (meilleur buteur de D2 en 86), Tibeuf, Guivarc'h, Rouxel, Bardon, Moreira, Wreh, Tasfaout, Eduardo Ribeiro, Mus. Yatabaré, Beauvue. Et l'équipe de 73 enfin.


FC Lorient

FC Lorient
Autres joueurs avec à l'arrière : Jallet, Morel, M. Ciani, B. Genton, Gauvin, Le Lan, S. Marchal, Lautoa, Le Goff. Au milieu :  Cuissard (international en 49 alors qu'il aidait Lorient en DH), C. Gourcuff, C. Le Roux, Pédron, O. Ewolo, T. Guel, P. Feindouno, Sey. Keita, Al. Traoré, Mvuemba, Romao, Jouffre, Coquelin, Corgnet, Si. Diarra. A l'avant : R. Marette, Y. Bonnec, Malm, Bouafia, U. Le Pen, P. Loko, E. Kroupi, R. Saïfi, M. Vahirua, B. Koné, Gignac, Aliadière, Monnet-Paquet, J. Ayew, Joel Campbell, Aboubakar, Waris, Moukandjo.


Chamois Niortais FC

Chamois Niortais FC
Une seule saison en Première Division, en 1987-1988. Hormis Pelé qui fît monter les Chamois avant de signer (en prêt) pour... Mulhouse, en... D2, Azzopardi et quelques autres, pas évident de trancher entre tous les joueurs qui ont revêtu la tunique des Chamois quoique le "onze-type" est quand même pas mal - pas tellement d'injustices à déplorer parmi les non-sélectionnés. Mais on peut aussi penser à : Mérelle et Debenest au poste de gardien. Aux J. Ibanez, R. Chabot, G. Eyquem, B. Steck, Cervetti, Cadu, Brochard, D. Burdoncle, E. Boucher, C. Baudry, Oosterveer, A. Colombo, F. Peltier, Escayol, Courtin, P. Braud, Bridonneau, Gauvin, Algérino, Piton, Safanjon, Couturier, R. Ferrier, Foulon, Opabunmi, Lahaye, Bong, Bronn en défense. Aux N. Ben Ali, Hnatow, P. Morice (un très bon technicien qui fît l'essentiel de sa carrière à Nantes et ne pût à lui seul permettre aux Chamois de se maintenir), Guérit, J.A Larré (technique, Uruguayen), Tourenne, N'Dombé, F. Hantz, Debrosse, Le Frapper, Fradin, Queiros, Facciuto, Darbelet, Bouard, Brouard, Pontdémé, Beaumet, Aurélien Capoue (né et formé à Niort), Etienne Capoue (né à Niort et qui commença au club mais fut à proprement parler formé à Chauray), A. Gonzales, Morisot, M. Pérez-Garcia, Tsoumou, Féret, Roye au milieu (Roye plutôt milieu offensif). Parizon (puis entraîneur), R. Berbette, P. Augustin,  Lee Chapman (bon, qui marqua surtout en Angleterre pour Leeds United...), Relmy, Belabde, K. Fiawoo, Prieur, D. Tholot, Walquir Mota, M. De Vries, Van Kets, Luyindula, C. Chapuis, Gliha, O. Bangoura, J. Obiorah (bref passage mais bon joueur qui marqua en Coupe du Monde pour le Nigéria), M.Dissa, Chanlot, D. Cousin, Garny, S. Michel, J-F Rivière, L. Gagnier, W. Loko, Sa. N'Diaye, B. Leroy, Sala, Lempereur... en attaque.

Pour revenir au onze, petite excentricité avec Malcuit à gauche mais cela peut donner, en addition au duo Tébily-Pallois, un aperçu de ce que serait une défense à 5.
Enfin précisons que Jallet joua à tous les postes aux Chamois, surtout au milieu. Il était bon partout et aussi bien défensivement que dans la relance. Au passage, l'auteur de cet article avait prédit qu'il jouerait en équipe de France. Ce qui à l'époque fît pas mal rire autour en tribune. Quand il descendît en National avec l'équipe, votre serviteur doit avouer qu'il commença à y croire un peu moins, d'un coup.


Stade Français

Stade Français
Autre gardien : Colonna. Défenseurs : J. Grégoire, Drouet, Stasiak, Arens, Bollini. Demi-centre : Dauphin. Demis : Kaj Hansen, Börge Mathiesen, Bellot. Avants : Simonyi (1 saison), Arne Sörensen, "Virage" Weiskopf, Aston, Henry Carlsson (peu de temps, puis Atlético avec Herrera et Ben Barek), Egon Johnsson, les Hollandais Rijvers et surtout Van Rhyn qui sera notre "remplaçant titulaire" au pose d'ailier gauche, Vandooren, G. Bourbotte, Dombeck, Bacconier, Peyroche, Alba, Skiba, Rustichelli.

Ujlaki débuta sa carrière française au Stade (1947-48). C'est ici que Louis Finot et Marcel Domingo entamèrent leur carrière également.

Après une politique de stars pour un deuxième grand club à Paris et ainsi concurrencer le Racing, le Stade abandonne le statut professionnel en 68 faute de résultats. Le club le reprend en 81 avec une accession en D2 sous le nom Stade Français 92 puis ne présente plus d'équipe sénior de 85 à 2009. L'équipe actuelle évolue en District.


Racing Club de Paris

Racing Club de Paris
Le premier club parisien avec une politique de stars, avec des succès entre 35 et 50 (1 doublé en 36, et 4 autres Coupes dont trois sur la période 39-45), deux places de vice-champion au début des années 60 et un même pas semblant de "revival" à la fin des années 80 puisque cela se solda par un échec complet. La finale de Coupe 90, inespérée alors qu'on ne compte plus guère de vedettes internationales dans l'équipe, finale perdue, marquerait la fin de cette nouvelle ère sans aucune gloire. Le Racing termine 19ème en championnat, abandonne le statut professionnel pour être relégué directement en 3ème Division et s'enfoncera dans la hierarchie nationale. Aujourd'hui, le club est en National 3, l'actuelle 5ème Division.

Un mot ou deux sur la composition d'équipe : Marcel s'il fût longtemps un demi comme avec l'équipe de France de 58 (et parfois arrière), il devînt au Racing un inter de pointe efficace. Sa place exacte au racing était donc un cran plus haut mais dans ce systême on peut l'imaginer comme un "n°8" (ce qu'il fut durant la plus longue partie de sa carrière en quelque sorte même si c'est anachronique, et un n° 8 plutôt offensif).
Quant au "nul" Veinante/ Vaast, précisons que Veinante était un meneur de jeu, un ordonnateur quand Vaast, bien plus vif à la course et dans le dribble était d'avantage un milieu offensif de percussion, d'ailleurs souvent utilisé comme ailier.

Autres joueurs : Vignal, Molinuevo, Tassin, Taillandier... Olmeta (Vignal et Olmeta). Allemane, Buamann, Capelle, Anatol, Zabalo, Arens (Letton), Salva, Banide, Dupuis, Gabet, Lamy, Bollini, Lelong... Bossis, Mahut, Silooy, B. Germain, P. Thys, Bade... P. Blondeau. Jordan (demi-centre), Fred Kennedy (inter puis demi), Delfour, Diagne (pouvait jouer dans toutes les lignes), J. Pérez (Arg., en 39), Jasseron, Hiltl, Leduc, Amalfi, Cisneros, Dalla Cieca, Mahjoub, Watteau... Ben Mabrouk, Umpierrez. Triboulet, Mercier, Weiskopf, Galey, Bongiorni, Couard, Mathé, Ozenne, Heisserer, Aston, Zatelli (fut international lors de son passage dans la capitale), R. Quenolle, Moreel, Guillot, Albert Gudmunsson, Grillet, Pillard, Topka, Milos Milutinovic (qui retrouve le chemin des buts en France), Foix, Heutte, Van Sam... Rabah Madjer (prolifique en D2 pour la montée en 84), Eugène Kabongo (prolifique pour la remontée en 86 puis transféré à Anderlecht), Bouderbala, Ginola.

Tusseau, Littbarski? Luis Fernandez? Au passage, il y eu une sorte de précédent à l'allemand en 53 avec la venue de l'ailier droit et idole de Palmeiras Canhotino, qui avait lui 29 ans cependant. Enfin bref. En 35-38, ce ne fut pas concluant pour le buteur croate Aleksandar Zivkovic, qu'on cite tout de même au vu de sa carte de... visite.


FC Rouen

FC Rouen
Le FCR : "L'attaque mitrailleuse" (1937) de Jean Nicolas et Roger Rio. Rio fils, Patrice. Daniel Horlaville.

Autres gardiens : Bessero (Italien naturalisé) Dambach, Gili, Bensoussan. Défenseurs : Wicart, Phelipon, Poulain, Sbroglia, Polny, Notheaux, Krivokuca, Djaadaoui, Buisine, D. Alberto. Milieux : Payen, Antoinette, Delfour (en temps de guerre, membre du staff aux cotés de Kimpton en 44-45), Bruat, Gosselin, Druda, Betta, Destrumelle, Bora Milutinovic, A. Dos Santos, A. Bianchi, Monteilh, Bertelsen, Hitoto, Soloy, Szklarek. Avants : Lherminé, Pozo, Taillis, R. Quenolle (prêt RCP), Heutte, Goujon, Buron, Dalla Cieca, Bliard, Corbel, Rustichelli, Lekakk, Carrié, Dortomb, Pena, Beltramini, Orts, C. Horlaville, Martet.
Et pas mal d'Autrichiens à la fin des années 30 comme Durspekt (inter), Artes (défenseur) et Mathieu André (demi, naturalisé) et après avec Melchior (années 50 en D2) devenu entraîneur du club.
A propos de Melchior/ Pospichal : deux joueurs en fin de carrière aux styles différents avec plutôt la force pour Melchior et d'avantage la finesse pour Pospichal.


Troyes


Troyes
AS Troyes, TAF, ATAC, ESTAC.
Autres joueurs : Landi, Versini, Formici. Thuane, Czapski, Le Lamer, R. Jacques, R. Jezierski, Méniri, Perquis (D2 et futur Sochaux, comme K. Ziani). Delcampe, Bessonart, Ferrad, Wateau, Zorzetto, A. Dos Santos, Rothen, Amzine, Celestini, Nivet, Danic, Barbosa, Lachuer, Noro, Matuidi (possible au poste de latéral gauche), Obbadi, Darbion. Winkler, EK Jensen, Ake Hjalmarsson, Daverio et Tison (D2), A. Keller, Curyl, Parizon, Niang, Loko, Akrour, Grax, M. Dos Santos, Camus, Jean...
L'entraîneur Roger Courtois rechaussa ses souliers de foot en diverses occasions de 53 à 58 marquant même plusieurs buts.
Stojaspal partage une place avec Diallo car l'Autrichien, s'il était toujours un fin stratège, voyait la fin de sa longue carrière se dessiner. Dukic et Tonnel sont les buteurs de deux époques. Du reste, compte tenu de leurs caractéristiques respectives, ces derniers constitueraient un duo complémentaire. Avec le yougoslave dans un registre peut-être "un peu plus étendu".


Stade Lavallois

Stade Lavallois
Mais aussi : Rose, Godart, Rousseau. Rodighiero (en tant que défenseur après avoir été attaquant), Miton, M. Sorin, Jean-Luc Arribart, Pérais, Bozon, Reuzeau, D. Alberto, Sékana. Smerecki, Buigues, Di Caro, C. Le Roy, Souto, Paillard, Loïc Lambert, Pouliquen, Kundé. Blanchet (montée), S. Camara, Vergnes (76-77), C. Sagna, Kostedde (79-80), Redon, Brisson, Stéfanini, Youm, Chérif Oudjani (85-86), Ricky (86-87).
Kostedde : 1 saison et meilleur buteur de D1 avec 21 buts inscrits. Krause : 3 saisons à 23, 18 et 14 buts et 2 fois 5ème de D1. Omam-Biyik, parce que Omam-Biyik. Laval est le premier club de la carrière à l'étranger du Camerounais avant Rennes etc.
L'équipe des Tangos de Michel Le Milinaire évolua en D1 des saisons 1976-1977 à 1988-1989.


FC Mulhouse

FC Mulhouse
En D1 durant 4 saisons dans les années 30 et 2 dans les années 80 (dernière saison de D1 en 89-90). Mulhouse participait au premier championnat de D1 en 32-33 mais était relégué. A cette époque, le club disposait de deux gardiens internationaux : le titulaire Willibald Kress (Allemagne) et Franz Platko (Hongrie) qui rejoint le Mulhouse FC en qualité d'entraîneur-joueur en cours de saison.
Continuons donc avec d'autres noms du club avec tout d'abord les gardiens comme Tempet suivi de Desrousseaux. Puis les défenseurs Banide, Casy, Kumhofer, Pflieger... Domenech (entraîneur-joueur 1984-86 puis entraîneur jusqu'en 91), F. Mansouri, C. Fichaux, Taborda, Milazzo. Les milieux ou assimilés Schott puis Gall (Autriche)... Guillou (entraîneur-joueur 1981-83), Huck, Bernardet, Durkalic, Glassmann, Georgiev (très bon joueur de D2, il n'a pas connu la D1 du reste). Les attaquants Bloch, Lieb, Krebs, Hartmann, Lucien Laurent (1934-35)... Ehrlacher, Six, Kist (D2), John Eriksen (D2), Kurbos (D2), Krncevic, Franck Priou, Cuca, Garny, L. David.

Hornus était demi d'aile côté gauche pour être précis. Il faisait l'essentiel de sa carrière au SOM avant de revenir dans sa ville de Mulhouse où il met un terme à sa carrière de footballeur pour devenir avocat. 
Enfin, nommons évidemment Nestor Subiat (1984-92 avec un crochet par Strasbourg) qui pouvait évoluer dans toutes les lignes mais manqua de jouer plus de 5 ou 6 fois en D1, bon, 7 et du reste le RCS évoluait en D2 également à cette époque). Et puis nommons le célèbre Manfred Kaltz (seconde partie de saison 89-90, défenseur). Aucun des joueurs de 1940 à 1980 n'ont été mentionnés, ni après 1998 (décente, le club est actuellement en D5).


Tours FC


Tours FC
FC Tours, Tours FC. Un onze plutôt porté sur les joueurs offensifs (seulement trois défenseurs sans aucun milieu défensif, un peu comme avec Rouen et même ici avec de véritables attaquants au milieu... de la dream team, en veux-tu en voilà avec cette attaque mammouth.

Autres joueurs :
Dusé, Raimbault... Kaham, Adjovi-Bocco, Vitalis, Besnard, Marais, Loiseau, Furlan, Lestage, Dujeux, Bénatia... Meynieu, Seweryn, Coiffier, Augustin, Varady, G. Lacombe, Diecket, Englebert, Bong, Genevois... Aston (entraîneur-joueur en amateur), Princet, Dehon, Ferrigno, J. Dominguez, Mota, T. N'Diaye, Atik, Sig. Diarra, Ketkeophomphone, Delort...
Vieira fut junior au club avant de rejoindre l'AS Cannes, club avec lequel il fît ses débuts en pro.


Le Mans UC

Le Mans UC
Orthographe : Sessègnon.
Plus Ismaël Bangoura (pour Gervinho ou Matsui), Grafite qui resta moins longtemps au club que Tulio de Melo. Toujours en attaque, citons Maïga (aile) et Helstadt (centre). Le Tallec et Thomert. James Fanchone et Mamadou Samassa. On a fait le tour.


SC Toulon

SC Toulon
Autres gardiens : Garofalo, Borrelli. Milieux : Ricort, Bernardet, Marsiglia, Makanaky, Zahoui, Bognar, Neubert, Pister, Meyrieu, Anziani. Attaquants : Unzain, Karimou, Guy, Boubacar, Emon, Paganelli, Ginola, J. Henry, Victor Ramos, Bursac, Pineda, Moses. Squillaci (défenseur) est originaire de Toulon et y a été formé.


AC Ajaccio

AC Ajaccio
Et Federicci, Porato, Ochoa... Brucato, D. Devaux, Le Lamer, Robin, Dzodic, Medjani, Laurenti, Regragui... C. Le Roy, Ouadah, Marcelinho Carioca, André Luiz Moreira, Démont, B. André, Sammaritano, J. Marcialis,  Diomède, Lucas Pereira...
On pourra par exemple préférer Brucato ou Medjani à la place de Squilacci puisqu'ils ont servi le club plus longtemps et en D1.


FC Sète

FC Sète
Lukacs ne joua qu'une saison à Sète. Pour le doublé de 34 (avant de rejoindre Lille). Sète évolua en D1 de la première édition du championnat en 1932-1933 jusqu'en 1953-1954 (champion en 34 et 39). Auparavant, Sète fut de 4 finales de Coupe (1 victoire en 1930). 
Ujlaki est le seul joueur d'après-guerre à faire partie du onze. Le autres joueurs cités à présent, de même, jouèrent pour la quasi-totalité d'entre eux sur la période d'avant la fin du deuxième conflit mondial, en particulier durant les années 30.
Au milieu, Cazal (Sétois) ou Gabrillargues (Montpelliérain) ou Jourda (Parisien) se voient privés du poste de demi gauche par Balmanya qui résout en quelque sorte l'équation. Stevanovic est "poussé" au poste de demi d'aile par Bukovi mais devait figurer dans le onze (ce qui laissait donc que très peu de possibilités à Cazal ou aux autres cités avec lui).
Enfin, nous citons : Henric, Dakowski... Gibson (puis entraîneur), le polyvalent Gravier (ex CA Paris), Mairesse, Mitrovic (quelques matches en 34), Ben Bouali, F. Mercier, Franquès... Griffith... Dedieu (puis entraîneur), M. Domergue (1923-24), Hillier, Schmidtt, C. Laurent, Tomazover, Leduc, Nagy... M. Dangles, Gallay (1924-25), Galey (1928-29), Poujol, Barrett, Friedmann Janda, G. Kramer (sa 1ere saison en France), Monsallier, Dougall et il y eut quelques autres Britanniques et même un Egyptien, Dubus, Benouna (notre second ailier gauche), Weiskopf dit "Virage" (pour ses débuts en D1), Vilmos Sipos, Escola (en 38 pour le second titre, 18 m./ 7 b.) comme Balmanya Catalan et provenant du FC Barcelone, Curyl, Danzelle, F. Faczinek... M. Abderrazak, Bouchouk, Antonio, Pironti en fin de carrière, Henri Fontaine...
Le plus célèbre joueur ayant récemment évolué au club est le milieu de terrain Alberto "Tino" Costa (transféré à Montpellier puis à Valence en Espagne).


C.O Roubaix-Tourcoing

C.O Roubaix-Tourcoing
Le C.O.R.T est né de la fusion entre le RC Roubaix, l'Excelsior et l'US Tourcoing en 45. 10 années en D1 (1 titre, en 47). En D2 jusqu'en 63 quand le RC Roubaix reprend son indépendance. Puis PH durant 1 saison et DH jusqu'en 70 quand l'Excelsior à son tour reprend son indépendance. Le C.O Roubaix disparaît à ce même moment.

Alors autant le dire, le onze de tous les temps ici est un onze de la décennie (45-55) qui se concentre allègrement sur l'équipe qui remporte le titre dans l'immédiat après-guerre - donc en 47 comme déjà indiqué  - avec 9 joueurs sur 11 plus Gianessi et Dereuddre.
Derreudre y trouve sa place en tant qu'ailier bien que cela ne soit pas son poste de prédilection. Ce déplacement sur l'aile s'est du reste peut-être bien produit en Equipe de France.
Passons aux autres joueurs : Darui fût le gardien du CORT de 45-46 à 52-53. Son successeur fut le jeune Desremeaux, le Bulgare Antonov, de retour au club, ne faisant que quelques matches dans un premier temps. Puis, en 54-55, ces deux derniers jouèrent presque tout autant l'un que l'autre. Dans les cages toujours, Samoy (D2) fut des Jeux de Rome en 60. Au rayon défenseurs : R. Meuris, Delepaut, Colliot, Svend Nielsen dont le CORT racheta le contrat à l'AS Rome en 53. Demis : Michel Lewandowski, Luciano, Boury, Spikofski (allemand), Jules Claessens. Avants : Stricanne, Leenaert, R. Vandooren, Sesia, Simonyi (en 52-53 à près de 40 ans), Lechantre, Bahl, Devlaminck (qui connu sûrement ses meilleures années avec le LOSC), Baratte (en fin de carrière, descente et D2 en provenance d'Aix puis retour à Lille pour y terminer définitivement). Michelin (milieu de terrain devenu international à Sedan) et Lemaître (avant, ex-international avec Lille) en D2. Ruben Bravo termina au CORT. Watteau y commença.


Bilan des courses

Alors évidemment, il aura été impossible de citer tous les footballeurs de ces 44 clubs, surtout dans le haut de panier mais l'on aura remarqué que les listes complémentaires auront été un peu plus fournies pour les équipes dont les joueurs avaient peut-être un niveau un peu plus resserré. Pour cette raison, de très bons qui auront su faire des carrières dans les clubs les plus "huppés" n'ont donc pas été évoqués. 
Une dernière fois et avant de citer les clubs qui peuvent manquer à l'appel, les listes n'ont pas été dressées dans un soucis d'exhaustivité tandis que les onze, malgré un grand soin porté à leur conception (pour ainsi dire) restent tout à fait subjectifs et restent l'œuvre d'ailleurs d'une seule personne. Alors surtout, amis lecteurs, de même une nouvelle fois, n'hésitez pas à faire usage de la section dédiée aux commentaires qui reste bien sûr ouverte. Ce sera un plaisir de recueillir vos remarques et d'échanger, en toute cordialité.

Une dernière note donc, les clubs à au moins une saison en Première Division/ Ligue 1 qui ne figurent pas dans l'article sont : Olympique Pantin Paris, FC Paris, CA Paris, Club Français, SC Fivois, Excelsior AC, RC Roubaix, US Boulogne, FC Nancy, Toulouse FC (1937-1967), AS Béziers, Olympique d'Alès, SC Nîmes, FC Antibes, AS Aix, AC Avignon, FC Martigues, FC Istres, Hyères FC, SR Colmar, FC Gueugnon, La Berrichonne Châteauroux, Limoges, Angoulême, Dijon, Grenoble, Thonon, AC Arles-Avignon, GFC Ajaccio, Amiens SC. 
Certains d'entres eux pourraient voir leur "onze de l'histoire" ajoutés comme le FC Nancy et le Toulouse FC 1937-1967. L'Olympique Lillois (1 titre de champion) et le SO Montpellier ont été (et resteront) considérés en même temps que le LOSC et le MHSC.

A suivre, éventuellement le FC Nancy et le premier Toulouse FC donc. En priorité pour l'auteur.